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L’eau forte est l'une des grandes techniques de l’estampe et l’un des grands procédés de la gravure en creux*. Cette forme de gravure sur métal consiste à attaquer avec un mordant, qui est très souvent l’acide nitrique - l’eau forte -, une plaque de métal (de zinc* ou, mieux de cuivre*) dont les autres dessins sont dégarnis, le reste étant protégé par un vernis. Le mordant creuse les lignes et les points dévernis, de telles sortes que les creux obtenus sur le métal peuvent être bourrés d’encre. Lors de l’impression, le papier humidifié vient ensuite, sous la pression des rouleaux, se gaufrer dans ces tailles creusées et se charger d’encre.
La caractéristique principale de l’eau-froide, et ce qui la distingue des autres procédés de gravure en creux, est la grande liberté d’expression qui est laissée à l’artiste. L’eau froide - qu’on à nommée la gravure* des peintres ( par opposition à la gravure de métier qu’est le burin*) et qui s’est confondu plus ou moins avec ce que l’on a appelé la gravure* libre - n’est, en effet pas soumise à des règles aussi contraignantes que celles du burin ou de l’aquatinte, surtout en ce qui concerne le dessin sur la plaque. Sa bonne réalisation réclame cependant de l’attention, de la méthode, du goût et une certaine expérience, notamment pour le vernissage et la morsure.Une eau-forte est exécutée en cinq étapes. Le décapage* de la plaque assure une bonne adhérence du vernis. Le vernissage* peut se faire avec un vernis en boule, à chaud, ou avec un vernis liquide, à froid, qui sèche rapidement mais doit être travaillé plus rapidement. Il existe d’autres vernis pour reprendre le travail. La gravure* consiste à dégager avec une pointe tous les traits du dessin: ceux-ci doivent toujours rester indépendants , car leur confusion donnerait une tache lors de l’impression. Le dessin achevé, la plaque est plongée dans un mordant ou recouverte par celui-ci, qui attaque les parties dégarnies, c’est la morsure* . Le dévernissage* met sur le métal en état d’être imprimé et - sauf correction - la plaque est alors ancrée et passée sous presse de la même manière que pour toutes les techniques de tailles douces.*
L’eau-forte peut comprendre, dans sa réalisation; différents procédés comme ceux du tissu*, au sucre*, à la plume*, à l’aquatinte*, etc. et peut être reprise à la pointe* sèche ou au burin. Souvent les gravures au burin ont été commencées à l’eau-forte.
SOLITUDE
CIRY Michel (1919-)AUTOMNE
DIGNIMONT André (1891-1965)BELLE VENITIENNE
DOMERGUE Jean-Gabriel (1889-1962)L OISEAU
PAPART Max (1911-1994)MATERNITE (1855)
VEYRASSAT Jules-Jacques (1828-1893) (d’après)CONVERSATION AU SALON
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