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Félix Labisse, né le 9 mars 1905 à Marchiennes et mort le 29 janvier 1982 à Neuilly-sur-Seine, était un peintre surréaliste français que les surréalistes ont, toutefois, refusé de reconnaître comme l’un des leurs1. En marge du mouvement d’André Breton, Il a été lié en 1947-1948, du fait de son amitié avec Christian Dotremont, à l’aventure du Surréalisme révolutionnaire. Dès le début des années 1940, son œuvre a été reconnue et soutenue par Robert Desnos, Paul Éluard, Philippe Soupault, Jacques Prévert. Patrick Waldberg lui a consacré en 1970 une importante monographie. Parallèlement à sa carrière de peintre, Labisse mena une carrière de décorateur pour le théâtre, la danse, l’opéra. La famille de Félix Labisse est établie à Douai. Après la Première Guerre mondiale, en 1923, elle s’installe à Heist-sur-Mer en Belgique. Son père créé un armement de pêche maritime à Zeebrugge. En 1924 Félix Labisse fait son service militaire à Cambrai. En 1927, l’affaire familiale périclite et la famille déménage à Ostende. Félix Labisse renonce à une carrière de marin et commence à se consacrer véritablement à la peinture. Il fonde à Ostende avec sa sœur Antoinette3, une galerie de peinture, la Galerie d’art Moderne, qui tiendra à peine deux années. Il est proche de James Ensor et entre en relations avec Constant Permeke, Léon Spilliaert, Henri Vandeputte, Jean Teugels4 et le futur cinéaste Henri Storck. En février 1928, il fonde avec Henri Storck, Firmin Cuypers5, Victor de Knop6, Alfred Courmes à cette époque à Ostende, Robert Elleboudt, Désiré Steyns, Pierre Vandervoort et Henry Van Vyve7 le Club du cinéma d’Ostende. En juillet 1928, il présente à la Galerie d’art moderne sa première exposition particulière. En 1929, il écrit l’argument de Pour vos beaux yeux8, un court métrage réalisé par Henri Storck. En 1930, il fonde avec Henry Van Vyve une revue littéraire et artistique, la revue Tribord qui comptera cinq numéros de juin à décembre 1930 et trois numéros de janvier à août 1931. Durant l’été 1930, il participe au scénari et au tournage d’un nouveau film d’Henri Storck, La mort de Vénus9. Fin 1930, il entreprend un ensemble de peintures murales représentant des portraits d’écrivains à la librairie Corman à Ostende. L’année suivante, il participe durant l’été au tournage d’Une idylle à la plage8 d’Henri Storck sur un scénari de Jean Teugels, avec pour principaux acteurs Raymond Rouleau et Gwen Norman. Il achève d’écrire un récit intitulé La déesse10. En octobre, il réalise les décors de Liliom de Ferenc Molnar mis en scène par Raymond Rouleau au Théâtre royal des galeries à Bruxelles.
ARTIFICTION
LABISSE Félix (1905-1982)DOMPTEUSE DE LION
LABISSE Félix (1905-1982)EN PLEIN REVE
LABISSE Félix (1905-1982)ETRANGE CREATURE
LABISSE Félix (1905-1982)GUERRIERS
LABISSE Félix (1905-1982)HISTOIRE NATUREL
LABISSE Félix (1905-1982)LA MAIN ARBRE
LABISSE Félix (1905-1982)LA REINE
LABISSE Félix (1905-1982)PREMONITION
LABISSE Félix (1905-1982)Oeuvres certifiées & authentifiées
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